histoires d'un jour.

S'est lancée la valse des premier-ministrables Et on nous prédit aujourd'hui Jean-Louis Borloo. Il est le premier dégoûté puisqu'à sa table, Dorénavant on ne servira que de l'eau...

Je n'ai juste pas envie d'aller travailler, Comme aujourd'hui j'ai juste flemmardé au lit. J'ai aussi envie demain de bien roupiller, Est-ce vraiment considéré comme un délit ?

Avec la pub Carrefour "C'est moi qui décide" Je me marre à chaque fois que je fais mes courses. Je fredonne aux vieux et aux vieilles qui les brident, Cet air pour qu'elles leur lâchent enfin les bourses.

Heureusement qu'il n'y a pas que le travail, Je mettrais sinon simplement fin à mes jours. Il y a la vie et il faut que cela aille, Ça fait du bien d'avoir les amis et l'amour.

Ce soir il y a le match France-Luxembourg, Ça tombe bien pour poser la question vitale : C'est un tout-petit pays de nos alentours, Mais quelle peut bien en être la capitale ?

J'aimerai bien vous parler un peu de ma vie, Mais je deviendrai facilement ordurier. Le meurtre passe en première de mes envies, Mais bon, soyons juste encore un peu le Gauthier.

J'aurai bien voulu vous raconter une histoire, Mais à vrai dire je ne pense qu'à dormir. Je crois donc que je n'ai rien à dire ce soir, À part à demain ou dans un proche avenir.

Le match de foot de demain ne peut avoir lieu ; Comment pourrait-on accueillir la Roumanie ? En tribune seront Besson et Hortefeux, Ils ne peuvent plus se passer de leur manie.

Je pense être arrivé au bout de mes surprises, Il semble que je sois à nouveau dans l'erreur. Je dois bien avouer que tu étais exquise, Que te voir vivante m'a comblé de bonheur.

On dit que la Vie est un long fleuve tranquille, C'est une petite rivière de Vendée. Marseille, de l'exagération est la ville, Elle s'en situe pourtant à cent mille coudées.